Enfin...
le CR de notre dernière sortie dans et à proximité d'un site Natura 2000 à l'embouchure du Taravo. C'était le 13 septembre, encore une chaude journée, à la découverte de la flore (et de quelques représentants de la faune) des marais d'eaux douce (Tanchiccia et Canniccia) et salée (Pistigliolo).
Pour aller plus loin, une étude complète de Guilhan Paradis est disponible ici.
Le diaporama (désolée pour la qualité des photos, il est temps de changer d'appareil...) :
mercredi 23 décembre 2015
mardi 1 décembre 2015
Chaine humaine pour le climat
![]() |
Corse Matin - lundi 30 novembre 2015 |
Nous voulions ainsi dire, avec des milliers d'autres manifestants en France et dans le monde, aux dirigeants qui seront réunis à Paris, dans le cadre de la COP 21, qu'il leur faut arriver à signer un accord contraignant pour tous les pays en vue de limiter l'élévation de la température à 2° maxi d'ici à la fin du siècle.
Car la biodiversité est menacée par les changements climatiques qui s'ajoutent à d'autres pressions (destruction d'habitat, pollution, fragmentation, ...). Les modifications des conditions climatiques obligeront les espèces à s'adapter, migrer voire disparaître face aux invasives, aux nouveaux parasites, à l'érosion des côtes... C'est pourquoi U Cardu a participé à l'organisation de cet événement.
jeudi 15 octobre 2015
Disparition de Jacques Gamisans
Le professeur Jacques GAMISANS nous a quittés le 28 Septembre 2015.
Amoureux de la flore corse, Jacques Gamisans fut professeur de
biologie végétale à l'Université de Marseille et
de Toulouse.
Éminent botaniste, il est membre et fut président du Comité scientifique « Flore corse » (Conservatoire botanique de Genève), ainsi que du Conseil scientifique du Conservatoire Botanique National de Corse.
Jacques Gamisans, Catalan né en Occitanie, se prit de passion pour la Corse dès 1962, à la suite d’un premier voyage dans l’île où il fut accueilli à Oletta. À la fin de ses études, recruté par l’université de Marseille, il entreprit, en 1966, une thèse consacrée à l’étude phytosociologique de la végétation des montagnes corses, ce qui lui permit d’explorer des secteurs auparavant jamais visités par des botanistes.
Il publia, de 1970 à 1985, dix contributions à l’étude de la flore corse où furent décrites des espèces nouvelles pour la science (Trisetum conradiae, Seseli djianeae, Adenostyles briquetii, Erigeron paolii...) et citées de nombreuses espèces nouvelles pour l’île. Un ouvrage assez complet, intitulé La végétation de la Corse, vit le jour en 1991, tandis qu’en 1996 parut La flore endémique de la Corse, avec de belles photos de Jean-François Marzocchi. À partir de 1986, ses travaux s’entrelacent avec ceux du Comité flore corse.
Outre les contributions annuelles à la connaissance de la flore de la Corse, ce Comité entreprit de continuer et de finir le Prodrome de la flore corse. Plusieurs familles ont été publiées (Campanulaceae, Plantaginaceae, Scrophulariaceae, Asteraceae, Dipsacaceae...), essentiellement par J. Gamisans et D. Jeanmonod. Ces deux auteurs ont aussi signé en 1993 un Catalogue des plantes vasculaires de la Corse et, en 2007, ils ont été les auteurs principaux du Flora Corsica, la toute nouvelle flore de Corse. Le paysage végétal de la Corse, publié en 2010 et Flore des maquis de Corse et des végétations associées, en 2014 sont ses dernières productions accessibles au grand public.
Jacques Gamisans fut l'auteur ou le co-auteur de quelque 179 publications scientifiques, dont un grand nombre consacré à la flore et à la végétation de la Corse.
Éminent botaniste, il est membre et fut président du Comité scientifique « Flore corse » (Conservatoire botanique de Genève), ainsi que du Conseil scientifique du Conservatoire Botanique National de Corse.
Jacques Gamisans, Catalan né en Occitanie, se prit de passion pour la Corse dès 1962, à la suite d’un premier voyage dans l’île où il fut accueilli à Oletta. À la fin de ses études, recruté par l’université de Marseille, il entreprit, en 1966, une thèse consacrée à l’étude phytosociologique de la végétation des montagnes corses, ce qui lui permit d’explorer des secteurs auparavant jamais visités par des botanistes.
Il publia, de 1970 à 1985, dix contributions à l’étude de la flore corse où furent décrites des espèces nouvelles pour la science (Trisetum conradiae, Seseli djianeae, Adenostyles briquetii, Erigeron paolii...) et citées de nombreuses espèces nouvelles pour l’île. Un ouvrage assez complet, intitulé La végétation de la Corse, vit le jour en 1991, tandis qu’en 1996 parut La flore endémique de la Corse, avec de belles photos de Jean-François Marzocchi. À partir de 1986, ses travaux s’entrelacent avec ceux du Comité flore corse.
Outre les contributions annuelles à la connaissance de la flore de la Corse, ce Comité entreprit de continuer et de finir le Prodrome de la flore corse. Plusieurs familles ont été publiées (Campanulaceae, Plantaginaceae, Scrophulariaceae, Asteraceae, Dipsacaceae...), essentiellement par J. Gamisans et D. Jeanmonod. Ces deux auteurs ont aussi signé en 1993 un Catalogue des plantes vasculaires de la Corse et, en 2007, ils ont été les auteurs principaux du Flora Corsica, la toute nouvelle flore de Corse. Le paysage végétal de la Corse, publié en 2010 et Flore des maquis de Corse et des végétations associées, en 2014 sont ses dernières productions accessibles au grand public.
Jacques Gamisans fut l'auteur ou le co-auteur de quelque 179 publications scientifiques, dont un grand nombre consacré à la flore et à la végétation de la Corse.
U Cardu s’associe à l’ensemble de la communauté naturaliste et
scientifique pour lui rendre hommage. Son travail est une référence pour
tous les naturalistes œuvrant dans l’île.
Selon sa volonté une cérémonie sera
organisée en Corse en juillet 2016.
Vous trouverez l'hommage à Jacques Gamisans de Guilhan Paradis en cliquant ici : une présentation .ppt et un texte complémentaire.
mardi 1 septembre 2015
Prochaine sortie à l'embouchure du Taravo le dimanche 13 septembre.
L'embouchure du Taravo depuis la Tour de Micalona |
Pour préparer notre prochaine rencontre,
Guilhan Paradis
vous propose une étude sur les espèces et habitat du secteur,
que vous pouvez télécharger en cliquant ici.
A très bientôt !
Basse vallée du Taravu
- Lieu : marais de Pistigliolo, Tanchiccia et Canniccia
- Intervenant : Guilhan Paradis
- Thèmes abordés : flore des marais d’eau douce à salée
- Rendez-vous : croisement de la D 757 (route de Porto-Pollo) et de la D 155 (route de Serra di Ferro) près de l'étang de Tanchiccia
samedi 15 août 2015
Compte rendu de la sortie du 18 juillet - Zones humides à Ghisonaccia
Sous un soleil de plomb nous avons suivi Guilhan Paradis, notre guide pour découvrir la flore des plages et des zones humides du littoral oriental.
La journée en images :
La journée en images :
dimanche 19 juillet 2015
Compte-rendu de la Sortie Forêt de Vizzavona le 20 juin 2015
En
cette veille d'été, Achille nous a donné rendez-vous au col de
Vizzavona pour un cours de Sylviculture. Nous passons donc la matinée
dans la hêtraie en sa compagnie.
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Plusieurs stades visibles : annuelles, vivaces épineuses et forêt |
En
introduction Achille rappelle que la forêt est le stade ''terminal''
de la végétation. Nous observons, sur une zone non boisée, un des
premiers stades de colonisation par la végétation : celui des
plantes annuelles. Cette zone du coté Nord de la route a une
végétation qui est maintenue basse par l'action de l'homme
(parking) et pâturage de quelques herbivores divagants.
Le stade
suivant correspond à l’apparition d’espèces vivaces qui
vont s’implanter au milieu des annuelles. On
voit aussi sur le site, un stade de fruticées, avec plusieurs
espèces épineuses, qui échapperont au pâturage et aux animaux
sauvages : Églantier (Rosa sempervirens), genêt... le
milieu se ferme lentement.
Le
stade suivant correspond à l'arrivée des arbres à graines légères,
disséminées par le vent, comme le pin ou, à graines plus lourdes,
transportées par les animaux (les glands par les geais par exemple).
Enfin,
le dernier stade : le milieu forestier, qui correspondra au
climax si les conditions climatiques et édaphiques (sols) le
permettent. Quand la forêt est vieillie, quand un arbre meurt et
tombe, il créé une trouée et le cycle reprend ; mais les
semis des arbres occuperont rapidement l’espace ouvert.
Les
résineux, notamment les pins, supportent des sols peu profonds voire
pauvres, au contraire du Hêtre, des Chênes et du Sapin. Les
forestiers ont l’habitude de classer les essences en « essences
d’ombre » et « essences de lumière » par rapport
à leur capacité de régénération. Par exemple les pins se
régénèrent bien en pleine lumière ; alors que le hêtre et
le sapin ont besoin d’un léger couvert pour bien se régénérer.
Toutefois, il n'en faut pas trop : l'ombre des hêtres adultes
nuit à leurs propres semis.
A
Vizzavona, à l'étage supraméditerranéen avec une forte influence
montagnarde, les espèces adaptées sont le Hêtre et le Pin laricio.
Ces deux espèces sont en effet présentes dans la forêt. Nous
sommes ici dans une forêt communale , gérée par l'ONF, elle relève
du régime forestier. En 1827, était créé le Code forestier, suite
à de graves problèmes d'érosion des montagnes entraînant des
catastrophes (Cévennes, Nimes, Alpes...). Il vise à contraindre les
communes à une gestion durable des forêts. L’administration des
eaux et forêt avait la charge de l'application de ce code, elle est
devenue l’ONF (Office national des forêts).
![]() |
Un taillis régulier de hêtre |
Pour
les feuillus, on distingue :
- la
Futaie : une tige où fût / du Taillis où plusieurs
troncs partent d'une même souche.
- le
traitement Régulier : tous les arbres ont le même âge / de
l’Irrégulier : plusieurs âges représentés.
La
hêtraie située au nord de la route est vielle et constitue un bon
réservoir de biodiversité (Chauves-souris). La hêtraie au Sud de
la route est plus jeune mais n’est pas dans son optimum
stationnelle. A l'abandon, elle a été coupée puis, est devenue une
forêt en taillis, qui sont montés très haut : les troncs sont
donc nombreux, assez étroits et tordus. En outre, au sol, il n'y a
rien (pas de semis), en raison de la densité du feuillage. Elle ne
pourra fournir que du bois de chauffage.
Avant
de songer à régénérer un peuplement, il faut étudier la station
pour y implanter une essence à la fois pertinente du point de vue
sylvicole et intéressante économiquement (le meilleur rendement).
Ce n'est pas parce qu'il y a déjà une essence que c'est la
''bonne'', notamment si elle a été favorisée par l'homme.
Pour
définir la station plusieurs possibilités :
-
une étude botanique du site (ici cela va être difficile car il y a
peu de plantes au sol),
-
une étude pédologique : sol plus ou moins profond.
Les horizons de la litière permettent de nommer l’humus, Ici, la
décomposition est assez lente, c'est un humus de type moder. Si
la décomposition de la matière organique est rapide l’humus est
un mull. Quand la décomposition est très lente et que la
matière organique s’accumule on a un humus de type mor.
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Mycelis muralis |
Coté
bota, il faut se fier aux plantes ''indicatrices'' qui nous
permettent de caractériser le milieu et ses potentialités et donc
de la valoriser au mieux (cf catalogue des stations de l'ONF de
Corse). Ici, le cortège floristique est surtout constitué par des
plantes de grande amplitude écologique, il y a peu de plantes
indiquant les changements de stations.
Quelques
plantes indicatrices :
- de
sol sec à très sec: disparition de la fougère aigle (Pteridium
aquilidium) , qui est une plante de grande amplitude.
- de
sol assez sec à assez frais : Pteridium aquilidium,
Fraisier (Fragaria vesca), Geranium rotundifolium,
Gaillet croisette (Cruciata laevipes), Luzules de Forster
(Luzula forsteri) et du Piémont (L. pedemontana),
Festuca heterophylla.
- de
sol frais : La laitue des murailles (Lactuca muralis /ex= Mycelis muralis), Sanicle d'Europe (Sanicula
europaea), Melica uniflora, le Houx, Renoncule
laineuse (Ranunculus lanuginosus),
Ici, le milieu est frais, le hêtre est donc à sa
place. En outre, la pente est faible, ce qui lui permettra de croître
en station favorable. Alors qu'en face, au nord, le hêtre est dépérissant, montrant qu'il n'est probablement pas à son optimum ; le pin laricio serait plus adapté.
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Achille, notre guide dans la hêtraie |
Le
hêtre doit être éclaircit rapidement dès qu’il atteint 8 à 12
m de hauteur. On choisi les plus belles tiges (désignation) et on
abaisse leur densité. Il faut au moins 3mm de largeur sur le cerne
annuel (rayon) sinon le bois est ''nerveux'' et ne peut convenir aux
usages nobles. En terrain acide, le cœur du hêtre peut être rouge,
ce qui est considéré comme un petit défaut. Un beau bois de hêtre
(au moins 6 m de tige droite sans nœud) avec des cernes larges et
réguliers peut être vendu 100 euros le m3 pour des meubles ou du
placage. Un élagage artificiel permettra d'éviter les nœuds sur
les arbres désignés.
Après
l'essence, le sylviculteur doit choisir un âge d'exploitabilité, et
adapter le traitement pour atteindre ses objectifs (par exemple 60 cm
de diamètre, à 80 -120 ans selon la richesse du sol). Plus il y a
d'individus, plus les hêtres monteront à la recherche de la lumière
et grossiront peu : il faut donc aussi effectuer des éclaircies
régulières, qui ont un coût. A la fin de l’exploitation, il y
aura 70 à 80 tiges par hectare. La sylviculture du hêtre est très
exigeante, c’est elle qui donne sa qualité aux bois produits et
les erreurs sont difficiles à rattraper. Ici
par exemple, seule l'utilisation du bois pour le chauffage est
envisageable. Dans certains secteurs, un rattrapage est envisageable
en éclaircissant les jeunes futaies ou les taillis. Les arbres ne
doivent pas dépasser un rapport hauteur /diamètre de 100 à 110
sous peine de constituer un peuplement fragile où on ne peut plus
intervenir en coupe.
Nous passons alors dans l'Allée des tilleuls (Tillia cordata), plantée le long de l'ancienne route nationale. Sur leur tronc, le lichen Lobaria pulmonaria, signe que même en bordure de route nationale, l'air est encore pur !
![]() |
Parquet de régénération |
Achille
nous présente ensuite un exemple de ''parquet'' de régénération :
ici, une coupe rase a été réalisée suivi d'une plantation, car il
n'y avait pas de semencier autour, en 1990. Aujourd'hui, on observe
des ''gaulis'' (jeunes arbres donc le tronc tien dans une main), qui
deviendront ensuite des ''perchis''. Il
faudra ensuite éclaircir, c'est à dire enlever les arbres les moins
beaux, pour avoir du hêtre de qualité. Attention toutefois à ne
pas trop éclaircir, car la lumière ferait repartir les gourmands (→
nœuds), qu'il faudra ensuite élaguer (coût).
Plus
loin, une futaie claire, où il y a eu une coupe de régénération.
Ces travaux sont prévus par un plan forestier d'aménagement proposé
par l'ONF à la commune, visant à atteindre les objectifs fixée par
elle. Ce plan de gestion couvre 20 années en précisant les dates
des travaux à venir et les crédits d'entretien forestier à
prévoir. Le
sol est toujours limoneux et parmi les plantes indicatrices de milieu
frais, notons, le gaillet à feuilles rondes (Galium
rotundifolium), une Epervière (Hieracium sp.), le fraisier
(Fragaria vesca), Mycelis muralis et la Fétuque hétérophylle
(Festuca heterophylla) reconnaissable à son toucher rapeux.
La
pluie arrivée pour le déjeuner nous a empêché de traiter du Pin
laricio l'après midi, mais nous y reviendrons à l'occasion de la
sortie à Aïtone en août ! Merci à Bernadette de nous avoir abritée...
Le diaporama de la journée :
Enfin,
Bravo à Sandra, qui a découvert un nouveau lichen (toxique et
mortel en cas d’ingestion) pour la Corse : Letharia
vulpina, sur un pin laricio, il est reconnaissable à sa couleur particulière.
Prochaine
sortie Forêt à Aïtone, le 2 août 2015
A très bientôt !
vendredi 3 juillet 2015
Cette semaine, des conférences de Jacques Gamisans en Corse du Sud
dimanche 28 juin 2015
Compte-rendu de la sortie à San Giovanni di Moriani
Et voici , enfin, les photo de la sortie du 17 mai, le long du sentier botanique de San Giovanni di Moriani, merci aux photographes !
mercredi 27 mai 2015
U Cardu vous propose deux sorties ce week end !
Fin de semaine chargée pour U Cardu !
Samedi 30 mai Scala de Santa Regina
Samedi 30 mai Scala de Santa Regina
-
Lieu : ancien sentier de la Scala
-
Thèmes abordés : maquis du mésoméditerranéen
-
Rendez-vous : à 10h à Pont de Castirla
sur le parking avant le pont en venant de Francardo ou de Castirla
ainsi que la sortie Vigie flore de l'année, à Porticcio
Dimanche 31 mai Cauroattention RDV à 9H30Lieu : CauroThèmes abordés : maille Vigie FloreRendez-vous : cimetière de Porticcio au départ du Mare a MareA bientôt sur le blog pour le compte-rendu de la dernière sortie sur le sentier botanique de
San Giovani di Moriani
dimanche 3 mai 2015
Commande de FLORA CORSICA
U Cardu se propose à nouveau d'organiser une commande groupée de la dernière édition de FLORA CORSICA auprès de l'éditeur.
Conditions :
- être à jour de sa cotisation 2015 auprès d'U Cardu (10,00 €)
- prix de la flore 55,00 € TTC
- U Cardu prend en charge les frais de port
- délai de réponse pour passer commande : 31 mai 2015
Contactez l'association à l'adresse suivante : u-cardu@wanadoo.fr
dimanche 26 avril 2015
Compte-rendu de la journée à Corte
Samedi 18 avril, s'est tenu la première réunion d'U Cardu, le diaporama suivant vous montre les premières découvertes de 2015, insitu et sous la loupe binoculaire. Merci au CPIE Centre Corse pour le prêt de la salle.
Prochaine sortie, Dimanche 17 mai à San Giovani di Moriani : venez nombreux !!
Prochaine sortie, Dimanche 17 mai à San Giovani di Moriani : venez nombreux !!
dimanche 12 avril 2015
L'AG étant passée, le programme des sorties 2015 est en cours de préparation...
mais vous pouvez d'ores et déjà retenir la date du samedi 18 avril pour une première mise en bouche !
Nous découvrirons le matin les plantes de nos rues et l'après-midi sera consacré à un atelier en salle (prêtée par le CPIE Centre Corse) sous les binoculaires.
RDV à 10h00 sur le parking de la citadelle à Corte.
mais vous pouvez d'ores et déjà retenir la date du samedi 18 avril pour une première mise en bouche !
Nous découvrirons le matin les plantes de nos rues et l'après-midi sera consacré à un atelier en salle (prêtée par le CPIE Centre Corse) sous les binoculaires.
RDV à 10h00 sur le parking de la citadelle à Corte.
- Hepatica nobilis - L'anémone hépatique - Avril 2015 - Castaniccia
jeudi 2 avril 2015
Assemblée générale !
En ce début de printemps, U Cardu se réveille :
Anacamptis morio subsp. Longicornu
(= Orchis Longicornu) (P!)
Orchis à long éperon
Bonifacio mars 2015
|
Ophrys tenthredinifera
Ophrys à grande fleurs (P!)
Bonifacio mars 2015
|
l'AG 2015 d'U CARDU se tiendra
vendredi 3 avril à 18h,
salle d'escrime, complexe de Chabrières
à Corte.
Merci
à ceux qui ont bien voulu répondre à notre questionnaire, à ceux qui se
sont proposés pour organiser des sorties et à nos amis mycologues de
nous avoir transmis leur programme pour 2015 !
Nous vous attendons nombreux.
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